Pour transformer un son en son radiophonique, la méthode est simple, il suffit de prendre ce son et de le passer à la radio, ainsi il devient radiophonique. Comme, il n’y a pas de limite au son, il n’y pas de limite à ce que produire la radio. Et alors machine à ouïr est en marche.
Donc la proposition de cette émission ,outre le fait d’écouter de la musique que l’entend peu, de la poésie et autres humeurs, c’est que vous participiez à la programmation soit sous forme de dédicaces, de lectures de propositions musicales.
À vous de voir et de dire mais pas tout. Parce que comme je suis au minimum antiraciste, antisexiste, antifasciste et beaucoup d’autres choses, tout ne pourra pas être proposée. Mais vous pouvez tenter votre chance.
Et si ces musiques vous intéressent, retrouvez les sur 49,3
Prouesse cinématographique autant que besoin vital de documenter un massacre d’ampleur alors qu’Israël interdit le territoire aux journalistes étrangers, « Ground Zero » entend rendre audible la parole des Palestinien·nes de Gaza et garder la trace de ce qui est vécu depuis sept mois.
Ce témoignage hors norme, croisant les regards de 20 cinéastes pendant 90 minutes, est porté par l’un des plus importants cinéastes de la diaspora palestinienne, un enfant de Gaza, le réalisateur Rashid Masharawi. Pour lui, filmer, c’est exister. I
« D’une part les Palestiniens luttent contre l’invisibilité qui est le sort auquel ils ont résisté depuis le début d’autre part, ils luttent contre les stéréotypes médiatiques :l’Arabe masqué le keffié, le Palestinien lanceur de pierre- une identité visuelle associée au terrorisme et à la violence. » Edward Saïd dream of Nation
N’oubliez pas à partir du 3 mars cine-Palestine
Les films deKamal Aljafari
et notamment paradiso XXX
et comme exemple des sous-entendus hollywoodiens sur les Palestiniens, quelques minutes de "" c’était demain".
J’ai fait une bête recherche sur internet pour trouver des critiques des condamnations prononcées lors de l’assassinat de Samuel Paty et je n’ai pas trouvé grand-chose.
Quand je dis bête recherche, cela veut dire que j’ai cherché dans la crème (au sens café crème) de l’information, ce qui surnage.
Et je n’ai pas trouvé grand-chose disais-je, mais je suis fatigué et désabusé.
Par contre, j’ai trouvé un texte de Louise Tort une des avocats de la défense des accusés qui commence par tout va bien. Et j’ai trouvé effectivement que tout va bien.
Tout va bien comme on dit dans le meilleur des mondes possibles.
C’est certainement ça, tout va bien et je n’y comprends plus rien.
Et n’oublions pas que dans ce procès, il n’y avait pas de tribunal populaire.
Peut-être effectivement que la peine de mort a étérétablei et nous ne sommes pas avertis.
« La langue est une raison humaine qui a ses raisons et que l’homme ne connaît pas. » Claude Levi Strauss
À Toulouse, il y avait un parcours d’art contemporain, un truc institutionnel qui fait très Cartier, pas le genre quartier barrio, mais plutôt cartier diamant. Mais peu importe, ça n’empêche pas de goûter au plaisir de voir des choses fortes.
Une installation tournait autour de Susan Hiller une artiste américaine qui réalise depuis des décennies des installations. Ici, c’est le film the last silent movieet ce que ça a déclenché de voir un tel film.
Un écran noir où n’apparaissent que des sous-titres traduisant le son des langues inconnues, en voie de disparition ou disparues.
Dans le coin gauche (...)