Chronik’Art ou Contre Histoire

Jules Michelet bien sûr... dont nous découvrirons peut-être un point de vue inattendu sur les Femmes au moment des Révolutions... Ce n’est pas tout Michelet qui apparaît là, et c’est pourquoi nous reviendrons sur les portraits féminins que le grand Jules a signés...
Mais son étude des relations des paysannes en particulier avec les hommes d’église et l’impact politique de ces liens vaut le détour.
Et après ces bigotes, Michelet nous rappellera Théroigne de Méricourt, Rose Lacombe et Madame Roland, Charlotte Corday et Lucie Desmoulins... Alors, on a aussi envie de lui pardonner ces "généralisations" avec lesquelles il caricature les femmes de l’Ouest en particulier ...
Et puis ce Jules est vraiment inévitable, qui nous raconte des détails qu’on ne trouve nulle part ailleurs, ceux qui font vivre (...)

Pierre Perret nous les raconte, avec son style unique...
Amusez-vous bien, par ces temps troublés, c’est une nécessité !
Et que mes camarades et néanmoins amies me pardonnent de n’avoir pas expurgé ce texte sulfureux mais légèrement (???) rétro !!!!......

... des années 70 à nos jours, et on y reviendra...

le gouvernement refoule tous les jours des jeunes diplômé-es, femmes en majorité, alors que nos hôpitaux s’étouffent et ferment des lits faute de soignants compétents, alors que nos écoles et lycées entassent des élèves dans des classes surchargées plutôt que de donner plus de chances à chacun-e en allégeant les effectifs et en multipliant les sections... Tout ce que nous avions de meilleur s’écroule... Les secours frappent à nos frontières et on leur ouvre les CRA...
La Cimade (à l’origine acronyme de Comité inter-mouvements auprès des évacués, association créée en 1939) travaille sans relâche pour remédier au désastre et distribuer un peu d’espoir. Voir son site remonte déjà le moral. Et jusqu’au 8 décembre, à Toulouse, la Cimade nous offre "Migrant’scène" ! (voir programme sur (...)

mais c’est vrai qu’avant le XXe...c’était pas terrible.... ou plutôt si, c’était vraiment terrible...
Mais on a fini par avoir le meilleur service de santé au monde...
et vous savez ce qu’il en reste... On verra ça de près bientôt...
Pour vous aider à aller jusqu’au bout de cette histoire affreuse, il fallait bien le HardKorback du Neanderthalien, puisque PH. Charlier nous fait remonter chez les Grecs (anciens !)...
Bon courage ! mais rassurez-vous, ce ne sera pas long !...

... que voilà, habillée et déshabillée par les Beatles ("with Diamonds"), par des médecins, infectiologues, légistes et chercheurs...
... et qui pourrait bien nous prévenir de lendemains pas chantants du tout...
... On y reprendrait un peu de grippe espagnole, de variole ou même de peste noire ?
Ouh ! Oouh ! Méfions-nous, les virus sont partout !....Et ce n’est ni une blague ni une fake....

Il nous raconte comment, soignant en Hôpital Psy, il s’imagine en compagnie du fantôme de Joséphine Baker pour se donner du courage dans une tournée de nuit à l’hôpital, "chez Jo", dans le service qui porte son nom...(même si ce nom a été changé pour des raisons de discrétion).
On s’amusera la prochaine fois, à Contre-Histoire, mais cette fois-ci, il fallait entendre ça...

et une petite page d’Elisée Reclus, un des premiers écologistes... Page extraite de son article "Pourquoi sommes-nous anarchistes ?", paru dans "La Société Nouvelle", à Bruxelles, en 1889

Ajustons nos gilets pare-balles ... L’affaire Boulin est de nouveau d’actualité, on va savoir !
On retrouvera bientôt le SAC, Foccart, et quelques autres vedettes de ...notre Douce France d’hier...

nous retrouvons Etienne Davodeau et Benoît Collombat, scénaristes, BéDéiste et journaliste, qui rappellent les sales affaires de sales politiciens, avec des meurtres, et même un massacre, pour assurer la pérennité de la droite gouvernementale... cela par une milice très officielle, au nom du sacro-saint gaullisme...
Douce France, chantait Trenet... Très douce France....

Superbe BD parue chez Futuropolis

quoique... cette Vème qui n’en finit pas de mourir n’est pas plus joyeuse en ce moment que sous de Gaulle/Pompidou/Giscard...
Bon courage pour écouter ces saletés, et pour rêver d’avenir.....
... avec Michel Jonasz... et notre Ridan...

... des "pasteurs" téléguidés par ces "églises" américaines, pentecôtistes et surtout évangélistes, lesquelles, depuis Hoover, en passant par Nixon et Bush opèrent les lavages de cerveaux par millions, par dizaines de millions, qui risquent encore d’assurer aux USA l’élection de Trump...et plus sûrement consolider en Afrique les régimes des militaires ou autres dictateurs dont ils ont permis la prise de pouvoir...
Et ces enfants, par dizaines de milliers, paient de leur existence piétinée, cette folie au nom d’un dieu sourd, aveugle et invisible...
Et bien sûr cet aveuglement collectif rend possible, par les multinationales, la poursuite de l’exploitation minière de ce pays parmi les plus riches du monde, pays où sévit la plus grande misère de la population, vivant à plus de 80 % sous le seuil (...)

retrouvons les personnages de "Traction-avant", à travers les départs et les découvertes de la vraie vie.
Avec Jon Hopkins, Aretha Franklin, et même Beethoven par Byron Janis, dans la Tempête... et Abdel Malik qui termine ce voyage avec les Volcans de Césaire

et un petit bout de femme d’un mètre cinquante au volant, solitaire et têtue...de Durban jusqu’au Katanga, de mines en mines, pour aller chercher l’or bleu du cobalt pour nos futurs I-phones et autres bagnoles électriques... 500 000 $ de chargement, sans arme ni garde du corps...
Et l’incontournable Johnny Cash a l’air d’un enfant de choeur en chantant avec la rage des mineurs des Appalaches "Sixteen tons..." quand la si petite Thandiwe traîne et arrache aux pistes défoncées 40 tonnes du minerai de l’avenir...
Et comme nous sommes en Afrique, on écoute aussi aux étapes et en route Ballako Sissoko, qui adoucit ce rêve étrange et pénétrant ...

Document extrait de la revue XXI, n° 17 (2012) auteur Sophie Bouillon.

Voilà pourquoi....

Emission extraite de la revue "XXI" n° 17 et de l’article de Philippe Grangereau.

Musique de Buxtehude, Raphaele Kennedy aux claviers.

Attention ! On finit par l’aimer, ce général vendu, et surtout celui qui l’a acheté ! et entre Francis Blanche et Pierre Perret, on s’amuse tellement qu’on finit par leur pardonner...
Et en plus, on se met "en ordre de bataille" pour parer à bien des interros sur l’Histoire Ancienne ou moderne...
L’Humour et la Poésie sont de grands remèdes ...

Un toulousain qu’on aime raconte son bac... , son année 81, et ce qu’on en n’imaginerait pas... et ce qu’on oublie parce que c’est plus facile...
et Corentin Fohlen nous empêche d’oublier Haïti, que Manno Charlemagne nous raconte avec sa guitare ... (Le mal du pays - Mon frère - A mon fils - Force paysanne - Capitaine Amerika - Bienvenue chez nous)

Alors voilà l’histoire du FN/RN, ou plutôt de son ascension dans les media et surtout dans les scrutins...
Avec en accompagnement :
*le discours de Patrice Lumumba au roi des Belges le jour de l’Indépendance du Congo (définissant la colonisation)
* "Wake up", tout à fait de circonstance
*et à nouveau Mass Devia avec son "Merci bourgeois"...

dans les années 50 (1950 ...), à La Martinique, le vieil Honorien se souvient et évoque avec le petit Raphaël (Confiant) les "Ravines", histoires du "devant-jour", histoires de l’aube donc...
La langue savoureuse du pays révèle aussi la "transition" vécue par les Antilles et les autres "D. O. M." passant de l’état de colonies à celui de départements français...
C’est poétique et délicieux, et... Césaire et Frantz Fanon ne sont pas loin....

Ces "Ravines du devant-jour" de Raphaël Confiant..." sont éditées dans la collection Folio de Gallimard, et le mariage de Virginie est rythmé par Didier Awad (Le cri du peuple) et Akpass (La victoire des vaincus), morceaux extraits du CD de nos amis de Survie : "Décolonisons".

de l’île de Pâques à Venise, en passant par le Dahomey des Amazones et l’Italie...d’hier ...et d’aujourd’hui...

avec la chanson inévitable de Montand, et aussi Manno Charlemagne ("Bienvenue chez nous" )``et Raphaele Kennedy dans Da Pacem de Buxtehude