En guise de rentrée, une histoire de sable pas trop glamour.
Plutôt que rechercher l’homme providentiel, créons un peuple providentiel.
Les confinements (je commence à en avoir la pratique), provoquent de multiples lecture et la redécouverte de bouquins plus ou moins disparus. C’est le cas d’un polar de Serge Nicolo, les pêcheurs de sable. Même si les héros qui savent tout faire, intelligent et connaissant les armes , ce qui en font toujours des ex militaires en rupture de ban, même si ces héros m’intéressent peu, certainement par jalousie, moi qui suis plutôt dépressif et analytique, les pêcheurs de sable se laisse lire et à la bonne dose d’information, donc et écroulement du sable s’écroulera autour des paragraphes en italique du roman, qui donne l’information sur ce qu’il en est du sable aujourd’hui. Référence sur le site de l’émission.
Moi qui pensais que le sable s’écoulait tranquillement, marquant le temps qui passe, me voilà bien marri.
Bien sûr le sable reviendra, un jour, quand nous serons revenus à la poussière et que tous les bâtiments en béton feront de même.
Après tout, comme le dit Fabienne Raphoz : « notre espèce a peut-être d’autant mieux détruit son milieu qu’il n’était justement pas le sien ».
Et puis deux remarques fortuites ouais fortuites plus ou moins qui ont à voir avec les élections en général
Plutôt que rechercher l’homme providentiel, créons un peuple providentiel.
Et, une réflexion sur les élections américaines mais qui marchent aussi pour toutes les élections et qui expliquent pourquoi les gens votent plutôt à droite ou conservateur donc contre leur intérêt puisque que tout progrès social irait dans le sens du mieux vivre.
Et bien aux États-Unis, ce n’est pas par un esprit de radicale liberté que les classes moyennes refusent les aménagements sociaux, la sécu par exemple , c’est simplement parce qu’ils ne veulent pas que les plus pauvres qu’eux en profitent, les noirs en particulier.
Transposez à la France, ça marche aussi.
C’est bizarre la démocratie, serais-je séparatiste ?