On les appelle les ... tagueurs
La nuit, ils rasent les murs équipés de feutres ou de bombes à peintures
Ils affectionnent les wagons du métro
Ce n’sont plus des graffitis disent les amateurs, c’est de l’art brut, Brut peut-être mais cher pour la RATP...
Ressources :
– Kool killer ou l’insurrection par les signes, Jean Baudrillard
- le perso de KILROY
– old-school dans la vieille place-forte de Brouage
playlist :
– Oncle slam (tarbes/pau) un des 1er groupes HC , avec une pochette signée Mode 2
– LIFELIKE (groupe de hc tarbais dans lequel jouait notre pote cailloux, graffeur & tatoueur)
– Sike (Киев, Ukraine)
(le groupe de Kiev homonyme d’un celebre graffeur toulousain)
Voice On The Wall / Graffiti Stomp
thirty years old and still stoked like kids
writers united are back on the streets
there are haters to hate and there are cops to oppress
can’t be stopped when we’re here to express
OUR
VOICE ON THE WALL YEAH
it doesn’t have a face, it doesn’t have a name
you may pass one level, but you won’t win the game
you may clean the wall or paint over the train
but you won’t stop the fucking color rain
WRITERS UNITED ARE BACK ON THE STREETS
it was a summer day
the sky was clear and bright
as we were walking down street
carrying our bags
full of cans and caps
listening to the funky beat
the weather was so good
and the paint was nice
and the place was really ill
we did our masterpiece
it said FUCK THE POLICE
and now that is how we chill
– THE BAD NEWS – Take It Out
l’artwork signé du pochoiriste POCH (et sorti son propre label)
– Öpstand - Music Industry - Desesperate Terrorism
spéciale casdédi au crew de taggers/grindeurs FTS (fais tous sauter/fuck the system)
– Straight royeur
le groupe de rap feministe avec v. despentes et Gilles guitariste de Haine Brigade.
– Agnostic front - friend or foe
– Desintegrar - Friend Or Foe
vu que les 1er graffeur bordelais (zine 33 c fresh !) étaient pas mal branchés hardcore SxE & NYHC d’où des blazes comme Sobre, Chast ou Foe (pour rebondir sur ce dernier qui était assez famous dans le milieu trains europeens, avant de s’assagir, de devenir prof de typo à toulouse)
– BLONDIE - Rapture vu qu’elle liée a l’émergence du hiphop de Ny
Trisomie 21 The Last Song
– Quand l’art investit la ville de Erick Lyle, Mike Taylor
En te basant sur ta propre expérience de Miami, de quelle manière la ville était-elle un terrain fertile pour les événements décrits dans le livre d’Erick ?
Eh bien, la Floride n’a pas d’impôts sur le revenu, ce fut donc toujours un endroit où les riches venaient s’installer. Je suis certain qu’il y a d’autres raisons plus complexes qui peuvent rendre une ville si propice à la guerre de classes à grande échelle (et quand je dis « guerre de classes », je ne veux pas dire « Brûlons les riches » sur un patch, mais une guerre ouverte contre les pauvres comme celle que les riches sont en train de gagner). Le contingent de riches Cubains conservateurs ? L’afflux de retraités de tout le pays et le désert culturel qui en résulte ?
Miami a toujours été clinquante de toutes sortes de manières. Au-delà de l’opulence caractéristique, la Santeria est une présence visuelle riche, cultivant le potentiel spirituel au sein de communautés appauvries. La peinture d’enseignes est très importante dans Little Haïti, les avenues commerçantes y sont magnifiques… Tout cela résonne avec la culture du hip hop de Miami, qui est devenue un véhicule pour le street art. Le tag et le graff sont énormes là-bas. Le projet Wynwood Walls (dont il est question dans le livre d’Erick Lyle, NDT) est une tentative particulièrement grossière de récupération par les classes dirigeantes de l’art sauvage d’un quartier. C’est une analogie toute trouvée pour le processus de gentrification via le cheval de Troie de l’art contemporain.
– Cool Parano – Un Testament Graffiti
– Hip Hop Family Tree